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Maria Callas est un sex symbol
Wapapapapapapapa
Maria Callas est un sex symbol
Wapapapapapapapa
Quand elle chante à l’opéra
Tous les hommes sont fous d’amour
Quand elle chante à l’opéra
Tous les hommes se roulent terrepar
Placido Domingo est un sex symbol
Wapapapapapapa
Placido Domingo est un sex symbol
Wapapapapapapa
Quand il chante à l’opéra
Toutes les femmes sont lof de love
Quand il chante à l’opéra
Toutes les femmes roucoulent de joie
Maria Callas est un sex symbol
Wapapapapapapa
Maria Callas est un sex symbol
Wapapapapapapa
Quand elle tape le style à l’opéra
Tous les hommes coulent une bielle
Ils hurlent comme Tarzan dans la jungle
Ils voient en elle une nouvelle Jane
Placido Domingo est un sex symbol
Wapapapapapapa
Placido Domingo est un sex symbol
Wapapapapapapa
Quand il fout le feu à l’opéra
Toutes les femmes elles fondent en larmes
Elles ruissellent elles dégoulinent
Elles veulent ses burnes en pendentif
Quand il chante à l’opéra
Il est beau comme un camion
Quand il chante à l’opéra
Toutes les femmes elles pètent les plombs
Quand elle chante à l’opéra
Elle est bonne comme une salade
Quand elle chante à l’opéra
Tous les hommes font la limace
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Ceausescu
05:46
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Il fait mash up mash up
Inna Roumania
Il fait winey winey
Avec Commaneci
Il est guide éclairé
Pour le peuple affamé
Avec gens pas contents
Il fait boum boum boum
Il fait chimie 2000
Avec Elena
Il fait garden party
Avec Securitate
Il est funky funky
Jusqu’en Transylvannie
Avec gens pas joyeux
Il fait boum boum boum
Bla bla bla
Wouuuuuah ha ha ha ha
Etc
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Ayrton Senna
01:17
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Oh le beau mur
Oh le beau mur
Il faut qu’je freine
Il faut qu’je freine
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5. |
Paponade
02:16
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Le son du cor au fond du bois
Déclenche en lui un rire narquois
Il sent grimper dans son échine
De langoureux frissons de haine
Il se revoit mine assassine
Quand il les jetait à la Seine
(Les jetant à la Seine)
Sois serein fils de pute
L’état est une mère
Aux élans bienveillants
A la mémoire légère
Elle protège ses enfants
Gardant contre son cœur
L’infection incurable
Qui bouillonne en ton corps
L’odeur du sang au fond des villes
Allume en son vieux corps sénile
Des envies folles et grandissantes
De remplir les trains à nouveau
Des appels à la compression
Au fond des entrées du métro
(Dans les bouches du métro)
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6. |
Haroun Tazieff
02:07
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De cratères en cratères
Il allait survolté
Souvenirs du bon vieux temps
Sur la lave il surfait
Un certain goût d’enfer
Haroun pétait les flammes
Le souffre et le magma
Enivraient toute son âme
Il a froid il a froid
Il reste hypnotisé
La vue lui noue la gorge
L’odeur lui prend le nez
Où est ce monde de feu
De soufre et de fumée
La lave et la fureur
De la terre déchaînée
Il grelotte il grelotte
Le calme ambiant l’oppresse
Pas la moindre explosion
Pour contenir sa détresse
Il rêve d’une coulée d’lave
Qui réchaufferait son cœur
Dernière nuée ardente
Pour célébrer son heure
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7. |
Yet Another Charlie Oleg
01:03
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8. |
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I wanna be a poulet
Pour gunshot dans la foule
Réduire au riot gun
Tous les fumeurs de joints
Détruire au P-38
Les voyous les putains
Je veux être un poulet
Je veux être un poulet
Pour truffer du pigeon
Pour tirer du clampin
Et incruster ta face
Au plomb dans le béton
Et réduire ta teuté
A coups d’pompes dans les dents
Je sens ton âme
Rongée par le vice
Corrompue et vidée
Par le lucre et l’envie
Je t’allumerai la tronche
Je t’allumerai la face
Tu ramperas chien bâtard
Et tu baiseras mes pompes
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9. |
Johnny Got His Gun
03:19
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I wanna be a poulet
Pour gunshot dans la foule
Réduire au riot gun
Tous les fumeurs de joints
Détruire au P-38
Les voyous les putains
Je veux être un poulet
Pour truffer du pigeon
Pour tirer du clampin
Et incruster ta face
Au plomb dans le béton
Et réduire ta teuté
A coups d'pompes dans les dents
Je sens ton âme
Rongée par le vice
Corrompue et vidée
Par le lucre et l'envie
Je t'allumerai la tronche
Je t'allumerai la face
Tu ramperas chien bâtard
Et tu baiseras mes pompes
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10. |
Eddie Van Halen
00:47
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11. |
Beethoven
03:03
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Il va, promeneur solitaire
Perdu dans les rues d’Heiligenstadt
Et tous les enfants du village
Sifflotent gaiement ses symphonies
Il va, maussade et détaché
Du monde, qui l’acclame et le couvre de fleurs
Et tous les oiseaux de la terre
Reprennent en chœur ce doux refrain
Il marche, contrarié et furieux
Frappant, sa tête dans les sapins
Car il, voudrait bien lui aussi
Reprendre en chœur ce doux refrain
Il n’y a pas de son plus beau, que Beethoven
Il n’y a pas de vibes plus pure, que Beethoven
Il n’y a pas de son plus rough, que Beethoven
Il n’y a pas de groove plus cool, que Beethoven
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12. |
Value-Added Charly Oleg
01:19
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13. |
Arlette Laguiller
01:57
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Camarade !
Ne te laisse plus abuser
Ils s’habillent comme dieux et déesses mais ne sont que des porcs
Ils volent le peuple et roulent en Mazeratti
Il roulent le peuple et volent en jet privé
Camarades !
Ils ne sont que pourriture capitaliste
Avides de dollars et avides de sang
Leur bave corrompue se répand sur le peuple
Victime de tous leurs abus de tous leurs excès
Camarades,
La révolution n’est pas un pic-nique cool
Où l’on s’entripote les miches en se bâfrant de caviar
La révolution est au bout des fusils
Juste entre ta baïonnette et le cœur de l’ennemi
Nous n’en pouvons plus et toi non plus tu n’en peux plus
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14. |
Pocahontas (Chaque Fois)
04:05
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Chaque fois, chaque fois, chaque fois, que je te vois
Chaque fois que tu sors de chez moi, tu es complètement fracas
Tu es arrivé hier, avec tes barbares de brothers
Tu t’es incrusté veugra, sur le feuspli de Shiva
Tu as ignoré la grâce des squaws, et les papooses au teint halé
Tu ne pensait qu’à keusmo et à tésqua le calumet
A peine entré dans l’tipi, tu t’es jeté sur la bédave
Tu m’as dit fait péter l’produit, que je sorte complètement pouilldave
Le temps d’aller sep un coup, tu m’as pourri mon zedou
Et tu t’es cassé bien irie chasser la limace dans la prairie
Dans le zion bien zédo, tu dansais avec ma squaw
Devant tous les braves et les bisons, tu m’as foutu la tehon
Car tu danses le cha-cha, comme je cultive la zonga
Et tu te déhanches sur le beat à la vitesse où je roule les shits
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15. |
Rocky Balboa
01:25
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Combien d’pain dans la cheutron dois-tu te prendre avant d’avaler tes dents ?
Combien d’pain dans la cheutron dois-tu te prendre avant d’comprendre ?
Adrienne Adrienne, c’est mon dernier combat
Adrienne Adrienne, c’est mon dernier combat
Combien d’coups d’burnes dans les boules dois-tu te prendre avant d’avaler tes gants?
Combien d’coups d’burnes dans les boules dois-tu te prendre avant d’finir accroché empaillé dans mon salon ?
Adrienne Adrienne, c’est mon dernier combat
Adrienne Adrienne, c’est mon dernier combat
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16. |
Jim Jones
02:17
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Prends, baise, vénère et crains
La main du justicier
Prends, baise, vénère et crains
La main du meurtrier
Je suis ton âme
Et je suis ta conscience
Je suis la main
Qui soulage ta souffrance
Je suis l’espoir
Les paroles assurées
Qui berce au gré des nuits
Ton esprit tourmenté
Je suis la voie
La vérité
La lumière qui t’éclaire
Et guide ta pensée
J’expie tes fautes
Et pardonne tes erreurs
T’éloignant du pêché
Te menant au bonheur
Je suis la flamme
Le guide bienveillant
Je ravive en ton cœur
Des espoirs vacillants
Je suis l’orage
La foudre et le tonnerre
Prophète ultime
Je sauverai la terre
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17. |
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Ton frère s’appelle Jean-Marie
Ta sœur s’appelle Jean-Marie
Ton père s’appelle Jean-Marie
Et ta mère s’appelle Hitler
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18. |
Jodie Foster
04:27
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Pour les yeux de Jodie Foster
J’abattrai le président
Le laissant s’écrouler à terre
Son visage baigné de sang
Sans douter je m’élancerai
Possédé comme un dément
Face à la foule survoltée
Je m’extirperai du néant
Dans ses yeux j’ai vu couler
Des rivières de feu de flammes
Éveillant des élans meurtriers
Au plus profond de mon âme
Quand dans la haine s’élèveront
Les cris les pleurs indignés
Nos cœurs ensemble vibreront
La douleur soudant nos destinés
Sur la chaise patient j’attendrai
Sachant mon emprise infinie
Laissant le vent lui porter
Tout mon amour toute ma folie
Et ce chant bercera son corps
La poursuivant sans répit
Jusqu’au jour où dans la mort
Nos âmes seront réunies
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19. |
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Sophie et Hans, la rage au cœur
Bravant la mort et la tempête
Brûlant d’espoir, dans la tourmente
Une lueur vouée à l’asphyxie
Achève-moi sur les barricades
Laisse s’envoler tous mes rêves
Achève-moi et balance mon corps
Déchiré à même la foule
Sophie et Hans, la corde au cou
S’interrogent sur les jours passés
Mots rassurant, derniers sourires
Le vide avant l’ultime instant
Achève-moi sur les barricades
Laisse mon corps balancer sans vie
Achève-moi laisse le vent chanter
Mes derniers soupirs de révolte
Sophie et Hans, regard éteint
Une larme coule lente et résignée
La rose se fane, le rideau tombe
Une dernière scène aux accents tragiques
Achève-moi bourreau sans pitié
Laisse ta main sceller mon destin
Achève-moi quand l’aube se détache
Sur un ciel sombrement funeste
Qu’on me donne une seconde
Que me laisse le temps de croire
Que mon cri de par le monde
Se diffuse et s’amplifie
Qu’on me donne une seconde
Que me laisse le temps de croire
Que le vent chante sans cesser
Sur nos dépouilles pourrissantes
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20. |
Ayrton Sega
00:32
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Oh le beau mur
Oh le beau mur
Il faut qu’je freine
Il faut qu’je freine
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21. |
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Je veux être un oiseau
Pour voler dans le vent
Embrasser de mes ailes
L’azure réconfortant
J’irai où bon me semble
Planant dans l’air moelleux
Au gré des alizés
Glissant dans le ciel bleu
Je veux être un oiseau
Que l’attraction ignore
Et que la peur du vide
N’a jamais effleuré
Et des années durant
Sans barrière ni frontière
Je voguerai dans les cieux
Sans jamais toucher terre
Un jour je m’élèverai
M’approchant du soleil
Confiant et rassuré
Je plongerai du ciel
Alors tous les oiseaux
Se joindront à mon vol
S’écriant rassurés
Quand s’ouvriront mes ailes
Que je peux moi aussi
Voler au gré des vents
Grimper vers l’infini
Toucher le firmament
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22. |
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